Ces sociétés correspondent aux SICAV* et aux Fonds communs de placement* dans le domaine immobilier. Elles se chargent de constituer et de gérer un parc immobilier locatif avec les capitaux déposés par les épargnants. Les souscripteurs, au même titre que les investisseurs privés, reçoivent des plus-values sur les parts des immeubles qu’ils détiennent.
Il existe trois catégories de sociétés immobilières (voir ci-dessous). Elles sont avantageuses à plusieurs titres :
Elles ont pour objectif d’acquérir et de gérer un parc immobilier locatif composé de locaux d’habitation ou de locaux commerciaux (bureaux, boutiques, etc.).
Les porteurs de parts reçoivent des revenus chaque trimestre sur les loyers et accumulent des plus-values sur leur capital investi (la part prend de la valeur en fonction du « marché de la pierre »).
À NOTER
Les organismes de placement collectif en immobilier (OPCI) proposent des produits d’épargne immobilière offrant plus de liquidité que les SCPI pour assurer une meilleure protection des porteurs de parts. Les SCPI actuelles peuvent se transformer en OPCI.
Ces sociétés anonymes ont pour objet l’exploitation d’immeubles locatifs en France, consacrés pour les 3/4 au moins à l’habitation.
Les souscripteurs achètent des actions de ces sociétés qui sont cotées en Bourse. Ils reçoivent les bénéfices tirés des loyers sous forme de dividendes.
Ce placement cumule en fait les avantages liés aux actions (rentabilité, liquidité) avec la sécurité liée à la « pierre » (la pierre est plus sûre que le bénéfice d’une entreprise sur lequel reposent les actions mobilières).
Ce sont des sociétés anonymes ou SARL qui ont pour objet la construction et la location d’immeubles non équipés à usage professionnel (bureaux, boutiques, locaux industriels, etc.) pouvant se trouver à l’étranger.
BON À SAVOIR
Les détenteurs de parts de SCPI bénéficient pour la détermination des revenus fonciers provenant de leurs parts (chaque SCPI communique à ses souscripteurs, en début d’année, le montant et la nature des revenus perçus : ils ne sont en effet pas tous considérés comme revenus fonciers), de la déduction sur les revenus fonciers (voir Déductions sur le revenu imposable*, paragraphe « Revenus fonciers »).
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