Uniquement l’assuré lorsqu’il remplit certaines conditions. Il doit justifier, pour percevoir des indemnités journalières, accordées pour toute maladie :
ATTENTION
Les médecins doivent mentionner les éléments d’ordre médical justifiant l’arrêt de travail.
Il est versé autant d’indemnités journalières qu’il y a de jours dans le mois (selon les mois : 28 ou 29, 30 ou 31).
À SIGNALER
Des indemnités complémentaires, supérieures aux indemnités journalières maladie, peuvent être versées par l’employeur, selon des conditions fixées par la convention collective, un accord d’entreprise ou l’accord de mensualisation.
À NOTER
Les indemnités journalières sont soumises au contributions sociales (CSG et CRDS).
Les indemnités sont versées à partir du 4e jour d’arrêt de travail.
Pour les affections chroniques ou de longue durée, on peut les toucher pendant 3 ans maximum. Pour les autres affections, on ne peut toucher plus de 360 indemnités journalières en l’espace de 3 ans.
À NOTER
Pour favoriser le retour à l’emploi des assurés, notamment ceux en longue maladie, il est possible de suivre une formation professionnelle pendant l’arrêt de travail tout en conservant le bénéfice des indemnités journalières. L’accord de la caisse est nécessaire. Le contrat de travail est suspendu pendant cette période.
On peut ensuite demander, si nécessaire, une pension d’invalidité*.
BON À SAVOIR
Il est ici question des indemnités journalières versées au titre de l’assurance maladie, mais il existe aussi des indemnités journalières d’assurance maternité (voir Assurance maternité*) et des indemnités journalières d’accidents du travail (voir Accident du travail*).
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