Quel que soit l’opérateur, il existe des règles communes en matière d’édition de factures, de coûts en fonction de la zone de tarification et de recours en cas d’anomalie.
À NOTER
Les personnes titulaires de minima sociaux (RSA « socle », allocation aux adultes handicapés, allocation spécifique de solidarité, et certains invalides de guerre) bénéficient d’un abonnement social moins élevé (uniquement avec Orange) ou d’une aide financière pour régulariser les impayés.
Le prix des appels varie selon le lieu d’émission et le lieu de réception. Certains opérateurs proposent des forfaits qui incluent, la plupart du temps, les communications standard (appels vers téléphone fixe, non-surtaxés, nationaux) ainsi que des appels illimités vers des mobiles en France.
La tarification dépend de la destination de l’appel, du service demandé ou de l’opérateur d’arrivée (surtout pour les mobiles). On distingue essentiellement :
Dès que la communication est établie, l’abonné doit acquitter le coût d’une mise en relation ou un crédit-temps dont la durée et le prix varient selon le type d’appel. Puis l’appel est facturé à la seconde sur la base d’un prix à la minute.
Tarifs téléphoniques réduits à certaines heures.
Réclamer auprès de son opérateur (son adresse se trouve sur la facture). Envoyer de préférence une lettre recommandée avec avis de réception. Il faut joindre à la réclamation tous les éléments pouvant la justifier (montants habituels des factures, preuves de son absence pendant la période en cause, travaux dans le quartier, etc.).
Demander la vérification du compteur et la mise sous contrôle de la ligne.
ATTENTION
Le client ne dispose que d’un délai de 1 an pour réclamer ; de même, l’opérateur peut réclamer le paiement des factures pendant 1 an.
À la suite de l’enquête menée, l’opérateur accepte ou non un dégrèvement (en cas de dégrèvement, elle prend pour base la moyenne des factures antérieures).
Si le dégrèvement est refusé :
On peut se contenter de payer l’abonnement en différant le paiement du montant des communications (après accord du service commercial).
Mais si, après enquête, l’opérateur estime que l’abonné a tort, il est obligé de payer sous peine de résiliation de son abonnement.
En cas de prélèvement automatique, le montant de la facture n’étant débité que 20 jours après la date d’établissement de la facture, il faut, en cas de contestation, faire suspendre le prélèvement le plus rapidement possible.
Si le règlement n’est pas effectué dans le délai prévu (voir le contrat de l’opérateur), un avis de rappel est adressé. L’abonné peut encore régulariser sa situation. Dans le cas contraire, la ligne est suspendue (et des frais supplémentaires sont à payer), voire résiliée selon l’opérateur.
Suivant l’opérateur, par :
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